15 Janvier 2017
Le défaut d'overblog, c'est que si vous y écrivez directement, par l'intermédiaire de votre blog, sous l'impulsion du moment, et qu'internet s'en mêle par des difficultés à publier le texte, et bien vous voilà dans la panade. Certes, j'aurais dû le mettre en brouillon avant d'essayer en vain de le publier.. Mais c'est si râlant de perdre un texte quand on sait que toute sa saveur personnelle sera perdue à jamais. De plus, on aura beau se rappeler des thèmes abordés, le phrasé ne sera jamais à l'identique, puisque l'unique est perdu. Ce n'est qu'un texte sur un blog, vous me diriez, interdits et étonnés par tout ce chambardement exagéré! Mais, comme toutes personnes qui aiment écrire, du plus petit en primaire fier de sa dissertation à l'adulte que nous sommes aimant scribouiller, sans pour autant être écrivain renommé, car il n'y a pas que ce dernier à avoir le coeur déchiré, les cheveux arrachés de rage, de se faire buguer par son outil de travail, l'ordinateur, on déteste tous de voir son texte se faire avaler comme une simple carte bleue au guichet sous prétexte d'un défaut quelconque du site, n'arrangeant ni nos affaires, ni encore moins notre ego.... Fini l'impulsion de l'instanté, maintenant on brouillonne comme à l'école..